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L'élevage irlandais et ses filières (436-juin)

Publié le par Groupe Economie du Bétail GEB (Institut de l'Elevage)
Marchés Lait et viande Bovin lait Bovin viande Ovin viande Ovin lait
Un Dossier Economie consacré à l'étude des filières d'élevage en Irlande. Depuis la plongée de l’Irlande dans la crise économique et financière, l’élevage est plus que jamais au cœur de l’économie du pays. Les éleveurs laitiers, basés sur des systèmes "low cost", trépignent d’impatience à l’approche de la fin des quotas. À l’horizon 2020, l’Irlande pourrait compter 100 000 à 200 000 vaches laitières de plus qu’en 2010, tout en maintenant ses cheptels de vaches allaitantes et de brebis. Un maintien de cheptel qui dépendra toutefois des orientations de la future PAC, les systèmes allaitants bovins et ovins étant très dépendants des aides.

Au sommaire de ce Dossier Economie :

 

L’élevage de ruminants est plus que jamais au coeur de l’économie irlandaise

L’économie irlandaise malmenée depuis 2008
L’élevage ruminant tient une place de choix dans l’économie nationale
Food Harvest 2020 : focus sur l’agriculture, secteur laitier en tête
Un pays d’herbe qui fait la part belle aux ruminants
Des petites structures figées sur un foncier rare et cher
Une forte sensibilité au climat
Des contraintes environnementales de plus en plus fortes
Un niveau de soutien élevé... aujourd’hui menacé

Une filière laitière en ordre de marche pour 2015

L’élevage laitier : secteur économique majeur de l’économie agro-alimentaire
Un modèle laitier économiquement performant
Des cessations laitières ralenties
Une production laitière très contrainte
Un cheptel laitier peu productif
Mais d’importantes réserves de productivité
Une production laitière plutôt bien valorisée...
...Malgré une forte saisonnalité
...Malgré un marché domestique étroit
...Malgré un mix fabrications typé
Un secteur de la transformation encore peu concentré

Une filière viande bovine face à ses contradictions

Un élevage allaitant “low cost” dans des systèmes spécialisés, sur des structures de petites tailles
Un cheptel allaitant constitué par croisements
De plus en plus de taurillons et de moins en moins de bœufs
Des prix à la production en forte hausse ces dernières années
L’industrie de la viande mise de plus en plus sur la valeur ajoutée
La production ne devrait pas sensiblement progresser

Filière ovine : la production peut-elle se stabiliser ?

Des élevages ovins de petite taille, principalement dans les zones défavorisées
Encore beaucoup d’élevages allaitants bovins-ovins
Des systèmes de production bien typés...
...et une production très saisonnalisée
Recapitalisation depuis 2010 et reprise des exportations
Les débouchés à l’export se sont diversifiés

Quelles perspectives à l’horizon 2020 ?

Des réserves de productivité et de surfaces au sein même des élevages laitiers
quelques conversions de la viande vers le lait après 2015
Des marges de manœuvre dans le secteur allaitant peuvent permettre de stabiliser le cheptel
Un secteur ovin suspendu au verdict d’un éventuel recouplage

Les chiffres concernant le coût de production ou le prix de revient contenus dans cette publication ne peuvent pas être considérés comme des indicateurs de référence pour la contractualisation calculés par IDELE dans le cadre prévu par la loi EGALIM 2. Pour en savoir plus consultez nos pages Indicateurs de référence pour la contractualisation.