Retour

Appui à la gestion technico-économique des exploitations - PMAZH n°8

Antoine SCAILLIEREZ Chef d’exploitation du lycée agricole à Sains du Nord (59)

Publié le par Gwendoline Elluin (Institut de l'Elevage), Stéphane Verscheure (C.A. Somme (80)), Anee-Laure Demarthe (Chambre d'agriculture du Nord-Pas-de-Calais), Franck Leroy (Avenir Conseil Elevage)
Revenu des éleveurs Bovin viande Bovin lait
Parce que maintenir l’agriculture en zones humides c'est Parvenir à rendre économiquement viable l’activité d’élevage, un accompagnement technico-économique complet a été proposé à près de 150 exploitations d'élevages bovins, réparties sur le bassin Artois-Picardie, à travers la réalisation d’une gestion Technico-economique (GTe).

Retrouvez le témoignage d'Antoine SCAILLIEREZ, chef d'exploitation du lycée agricole à Sains du Nord dans le Nord, avec un atelier allaitant de 50 vaches Limousines conduit en agriculture biologique et un atelier ovin de 25 brebis croisées Charollais x Texel et la suite en conventionnel. L’accompagnement GTE avec Paul Lamothe, conseiller à la Chambre d'agriculture du Nord Pas de Calais a amélioré la complémentarité du double troupeau viande bovine et ovine ainsi qu'avec les pommiers, les haies et l’agroforesterie qui sont qui importants dans le système. L’arrêt de la fauche des refus et du hersage systématique des prairies permet des économies de carburant, de salarié et de tracteur pour finalement pouvoir dégager 1 370 €/ha SFP de marge brute en 2022 avec 100 % de la SAU en prairies permanentes Bio.

 

Pour plus d'infos sur le Programme de maintien de l'agriculture en zones humides (PMAZH) :

hautsdefrance.chambre-agriculture.fr/actions/strategie-developpement-multiperformance-transitions-agricoles/programme-maintien-agriculture-zones-humides/

Les chiffres concernant le coût de production ou le prix de revient contenus dans cette publication ne peuvent pas être considérés comme des indicateurs de référence pour la contractualisation calculés par IDELE dans le cadre prévu par la loi EGALIM 2. Pour en savoir plus consultez nos pages Indicateurs de référence pour la contractualisation.