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Marché de l’agneau depuis Pâques

Tendances Lait & Viande n°328 - mai 2021

Publié le par Groupe Economie du Bétail GEB (Institut de l'Elevage)
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La demande dans les principaux bassins déficitaires, et notamment la Chine, reste active, face à des disponibilités plutôt contraintes. Une partie importante des flux mondiaux est captée par le géant asiatique, aux dépens de l’Union européenne et du Royaume-Uni. Avec un marché allégé, les prix de la viande ovine sont exceptionnellement élevés en Europe comparativement aux prix océaniens. Le numéro de mai 2021 de Tendances Lait Viande est en ligne. Retrouvez vos articles habituels de suivi de conjoncture viande bovine, lait de vache, viande ovine, et lait de chèvre.

 

[Vidéo] Marché de l'agneau depuis Pâques

Interview de Cassandre Matras, chef de projet conjoncture ovine au service Economie des filières de l'Institut de l'Elevage

 

 

 

 

Viandes bovines :

 

Marchés fluides pour les gros bovins finis, difficultés pour les veaux

Les cotations des vaches restent soutenues par une demande ferme en France comme en Europe. Celles des JB se sont nettement redressées grâce à l’allègement global du marché européen.

Sur les marchés des broutards, la hausse saisonnière reste timide en mâles quand les cours en femelles sont soutenus par une demande dynamique. Le marché du veau de boucherie reste encombré et pèse sur celui des veaux nourrissons.

 

 

Lait de vache :

 

La faible collecte européenne soutient les marchés

La collecte se rétablit progressivement en Allemagne et moins nettement en France, après un net fléchissement cet hiver. Ainsi la collecte de l’UE-27 aurait retrouvé son niveau de l’an dernier en avril, grâce aussi au dynamisme de l’Irlande, de la Pologne et dans une moindre mesure de l’Italie.

Très bien orientés depuis janvier, les cours des ingrédients laitiers s’apprécient plus modérément depuis avril. Face à une demande internationale toujours ferme, le rétablissement progressif de la production laitière européenne améliore l’équilibre offre/demande d’autant que la production laitière demeure dynamique aux États-Unis.

 

 

Viande ovine :

 

La demande chinoise toujours forte tend les cours

La demande dans les principaux bassins déficitaires, et notamment la Chine, reste active, face à des disponibilités plutôt contraintes. Une partie importante des flux mondiaux est captée par le géant asiatique, aux dépens de l’Union européenne et du Royaume-Uni.

Avec un marché allégé, les prix de la viande ovine sont exceptionnellement élevés en Europe comparativement aux prix océaniens.

 

 

Lait de chèvre et viande :

 

Recul de ressource laitière début 2021

Malgré une collecte stable, les transformateurs ont réduit les importations et par voie de conséquence leurs approvisionnements, ce qui s’est répercuté sur les fabrications de fromages.

 

 

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Les chiffres concernant le coût de production ou le prix de revient contenus dans cette publication ne peuvent pas être considérés comme des indicateurs de référence pour la contractualisation calculés par IDELE dans le cadre prévu par la loi EGALIM 2. Pour en savoir plus consultez nos pages Indicateurs de référence pour la contractualisation.