[GAV 2024] Situation, évolutions et tendances de l’économie de la filière et des marchés
Publié le
par
Caroline Monniot (Institut de l'Elevage)
Huit années de décapitalisation ont conduit à une baisse du nombre de bovins à engraisser et à abattre. La relocalisation de l’engraissement en France, au détriment de l’export de broutards, permet de limiter le recul de la production française. En 2024, le marché européen a retrouvé du dynamisme après une année 2023 morose. Les ventes vers la Turquie ont également participé à la bonne tenue des prix. En octobre-novembre 2024, les cotations sont orientées à la hausse pour toutes les catégories de bovins, hormis pour les vaches laitières qui enregistrent leur baisse saisonnière habituelle.
En 2025, la production de viande bovine devrait poursuivre sa baisse. La consommation dépendra de l’évolution du contexte économique.
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