Des pratiques pour être plus résilient
Projet Resilience for Dairy
Le projet R4D (Résilience for Dairy) vise à diffuser des solutions pour renforcer la résilience des producteurs laitiers. Pour atteindre cet objectif, les 18 partenaires du projet R4D ont créé un réseau permettant l'échange de connaissances pratiques et scientifiques entre des producteurs laitiers européens, des chercheurs et des conseillers. Chaque pays a créé un groupe d’échange regroupant ces différents acteurs. Ils se sont concentrés sur 3 domaines de connaissances : Résilience économique et sociale, Efficacité technique et Environnement, Bien-être animal et systèmes de production respectueux de la société. Dans ce cadre, notre travail est basé sur une évaluation de solutions possibles, qui peuvent contribuer à la résilience des futurs élevages laitiers.
Afin de répondre aux besoins et solutions des différents pays, 100 meilleures pratiques ont été recensées et sélectionnées pour être disséminées entre les différents pays. Ces 100 bonnes pratiques ont donc été rédigés par les différents pays sous la forme de fiches synthétiques, retrouvables sur le site web du projet.
Elles permettent d’introduire les pratiques en donnant leurs bienfaits, leurs conseils d’applications mais aussi les points de vigilance à garder en tête lors de leurs utilisations. Elles donnent des réponses à des problématiques de résilience en lien avec les 3 domaines de connaissances cités ci-dessus.
Sur le site, en français, vous trouverez une fiche dédiée à la gestion des ressources humaines, qui donne des techniques et astuces pour se rendre attrayant et trouver des salariés. De même, existe une fiche qui détaille les installations de biogaz, et explique comment ces installations permettent de réduire l’empreinte carbone d’une ferme laitière tout en donnant des conseils et des avertissements pratiques. Enfin, il est possible de retrouver une fiche traitant de l’épandage de lisier à faibles émissions. Elle répond aux questions sur le matériel à utiliser, les points positifs mais aussi ceux de vigilances afin de permettre à la prairie de pousser facilement grâce à un accès facile à de l’azote disponible.