Ovin lait : pertes indirectes de production imputables à la prédation
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Maxime Marois (Institut de l'Elevage), Pierre Poiraud
Dans le cadre du plan national d’actions 2018-2023 sur le loup et les activités d’élevage, une étude d’évaluation des pertes indirectes de production en cas de prédation, financée par le ministère de la transition écologique a été confiée à l’Idele. Ce dossier présente les résultats obtenus pour 2 cas-types ovin lait étudiés (Pyrénées fromager transhumant et livreur de lait sédentaire des Causses).
A partir de 2 cas-types ovin lait et pour 3 indicateurs d'élevage : le taux de mise-bas, le taux de renouvellement et le taux de réforme, on a évalué les pertes indirectes de production imputables à de la prédation causée par l'ours ou le loup.
On s'aperçoit que dans les 3 situations étudiées, les montants des pertes indirectes évaluées sont bien au-delà des barèmes actuels d'indemnisation des pertes indirectes. On s’aperçoit que les montants des pertes indirectes évaluées sont bien au-delà des barèmes actuels d’indemnisation des pertes indirectes.