Produire ses concenctrés ou se fournir localement, les valoriser, beaucoup de questions se posent sur de nombreux aliments, leurs usages et leurs modes de présentations.

Avec seulement 47 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages caprins français ont encore des marges de progrès pour produire eux-mêmes les protéines végétales consommées par les chèvres laitières. 

Le projet CAP PROTEINE a travaillé sur l'ensemble des leviers permettant d'améliorer l'autonomie protéique des élevages. Parmi ceux-ci la valorisation de concentrés fermiers a été éxplorée au travers de témoignages d'éleveurs, mais aussi d'essai zootechniques dont 3 en caprin :

- Valorisation des meteils appalti ou non 

- Valorisation de la graine de soja toastée

- Valorisation de la graine de féverole crue ou toastée

Voir le dossier caprin du projet