Ressources Approche globale 

approche globale

Connaître les systèmes alimentaires, accompagner au changement de système, les évaluer avec une approche mutli-critère.

Autonomie alimentaire

 

 

Cap protéines, l'autonomie protéique des élevages

Avec seulement 47 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages caprins français ont encore des marges de progrès pour produire eux-mêmes les protéines végétales consommées par les chèvres laitières. 

Le projet CAP PROTEINE a travaillé sur l'ensemble des leviers peremttant d'améliorer l'autonomie protéique des élevages. Plateformes fourragères, essais zootechniques, témoignages d'éleveurs, de nombvreuses ressources, dont certaines spécifiques à l'élevage caprin, sont disponibles.

Voir le dossier caprin du projet

AutoSysEl

Un espace est dédié aux éleveurs, techniciens et apprenants qui s'intéressent à l'autonomie alimentaire, et aux leviers techniques pour l'améliorer à l'échelle de l'exploitation.

Vous trouverez ici des pistes pour mieux conduire vos prairies et cultures, pour mieux récolter vos fourrages, pour mieux valoriser les fourrages et les aliments dans la ration de vos animaux. Pour gagner en autonomie alimentaire, nous vous proposons de la de la documentation technique sous forme de fiches, un module de calcul rapide de diagnostic d’autonomie, ainsi que des relais départementaux pour aller plus loin sur ce thème.

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Compétition Feed-Food

ERADAL : des chèvres laitières productrices nette de protéines

Les ruminants sont accusés de détourner des ressources nécessaires à l'alimentation humaine. Est-ce vraiment le cas ? Le projet CAS DAR ERADAL vous livre ses résultats à travers une série de vidéos leçons à destination de l’enseignement, pour les trois principales filières laitières.

Accéder à la page caprine du projet Acceder aux vidéos pédagogiques

 


Observatoire de l'alimentation

Observatoire de l'alimentation des chèvres laitières françaises

En France, les fourrages, et majoritairement le foin, constituent en moyenne 68% de la ration des chèvres. La part des fourrages peut atteindre 75% dans les élevages qui pâturent. Le foin peut être associé à de l'ensilage de maïs, de l'enrubannage, de l'herbe distribuée en vert dans d'autres systèmes. Et enfin, les systèmes pastoraux misent sur des stratégies de valorisation des parcours avec peu de concentrés.

 

CE DOSSIER EST CONSTITUÉ DE 9 FICHES.
Pour un système alimentaire donné, chaque fiche :

décrit les caractéristiques des exploitations qui le mettent en œuvre,
précise la nature des fourrages et concentrés utilisés,
présente le niveau d'autonomie alimentaire du système et quelques indicateurs, économiques et environnementales.
 

Ces données s'appuient sur un traitement de la base de données Inosys - Réseaux d'élevage.

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