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Le béta-hydroxybutyrate, un nouveau marqueur pour étudier le métabolisme énergétique chez la chèvre ?
Présentation réalisée par Isabelle Palhière (INRAE, UMR GePhySE, UMT STAR) dans le cadre du Webinaire coanimé par l'UMT PSR et l'OMACAP
Publié le
par
Isabelle Palhière (INRAE - GenPhySE), Renée de Crémoux (Institut de l'Elevage)
Le béta-hydroxybtyrate apparaît comme un marqueur biologique d’intérêt pour étudier le métabolisme énergétique des chèvres. La possibilité de le doser au niveau sanguin rend envisageable une exploration à large échelle chez la chèvre. Isabelle Palhière (UMT STAR, INRAE, UMR GenPhySE) rend compte des résultats obtenus dans le cadre du projet H2020 SMARTER
Le béta-hydroxybutyrate est un corps cétonique intervenant dans le métabolisme énergétique des animaux. Son dosage dans le sang permet de suivre les changements d’équilibre énergétique, voire de diagnostiquer des troubles métaboliques pendant la lactation.
Dans le cadre du projet SMARTER (https://www.smarterproject.eu/), l’objectif était d’évaluer l’intérêt de ce marqueur biologique en races Alpine et Saanen en le mesurant à grande échelle dans 5 fermes pilotes.
Les réponses attendues visent à :
- caractériser la variabilité entre animaux et l’influence des facteurs d’élevage ;
- étudier la relation avec de possibles troubles métaboliques,
- analyser l’association avec les caractères de production et reproduction.