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Résultats techniques et économiques caprins 2019 - Nouvelle Aquitaine, Pays-de-la-Loire et Bretagne

Publié le par Nicole Bossis (Institut de l'Elevage), Anne-Laure Lemaitre (C.A. Charente Maritime (17)), Angélique Roué (C.A. Charente Maritime (17)), Coline Bossis (C.A. Vienne (86)), Pauline Gautier (C.A. Charente (16)), Juliette Bothorel (CA Bretagne), Bernard Poupin (FCL Vendée (85)), Amélie Villette, Camille Delaporte (C.A. Lot et Garonne (47)), Jean Pierre Dugat (C.A. Gironde (33)), Romain Lesne (ARDEPAL)
Coûts de production Revenu des éleveurs Caprin
Cette plaquette présente les résultats techniques et économiques 2019 des exploitations d'INOSYS - Réseaux d'élevage caprin suivies en Nouvelle Aquitaine, Vendée et Maine-et-Loire.

Les principales caractéristiques de la conjoncture 2019 sont les suivants : progression du prix du lait (+ 1,8 %) et un IPAMPA qui poursuit son augmentation (+ 2,3 %). Côté cultures de vente, les prix de vente sont en retrait et si les rendements des céréales à paille ont été bons, ceux du colza et des cultures de printemps sont à la baisse.

 

En 2019, les livreurs caprins suivis dans le cadre d’INOSYS - Réseaux d’élevage dégagent en moyenne 34 000€ de revenu disponible par UMO exploitant, avec 364 chèvres sur 112 ha SAU.

Le revenu moyen des livreurs spécialisés conventionnels dépasse largement le revenu des autres systèmes. Il s’établit à plus de 40 000 € par UMO. Le revenu des éleveurs spécialisés bios est loin derrière mais l’échantillon est restreint.

Le revenu moyen des autres systèmes est compris entre 24 100 € par UMO pour les systèmes caprins mixtes (livreurs et fromagers) et 30 300 € par UMO pour les systèmes caprins et cultures de vente.