
Pourquoi conserver la variabilité génétique des races ? Et comment connaitre leur état de "santé génétique" ? Ce satellite permettait de faire le point sur ces questions.
Quatre exposés ont rythmé cette fin d'après midi autour du thème de la variabilité génétique. Sous la présidence d'E. Verrier (AgroParisTech), C. Danchin-Burge (Institut de l'Elevage) a d'abord présenté un inventaire des situations en ruminants à partir des données de l'observatoire VARUME. P. Martin (CAPGENES) a ensuite illustré comment un organisme responsable de la gestion d'une espèce (caprins) utilise ces indicateurs pour agir. | P. Martin (CAPGENES) |
Les deux derniers exposés illustraient pourquoi il est indispensable de se préoccuper de la variabilité génétique des races animales. C. Grohs, INRA GABI (pour le compte de l'Observatoire National des Anomalies Bovines - ONAB) nous présentait comment est organisé la détection de l'émergence d'anomalies génétiques chez les bovins.
La session se clôturait par un exposé de G. Leroy (FAO) permettant de mesurer les impacts réels causés par la dépression de consanguinité.
Les participants ont particulièrement apprécié la complémentarité des exposés et la richesse des échanges après chaque exposé. Pour aller plus loin, nous vous invitons à consulter les rubriques suivantes :
Et pour mieux comprendre les indicateurs de variabilité génétique, une formation est à votre disposition en 2016.
Coralie Danchin-Burge (Institut de l'Elevage), Grégoire Leroy (INRAE GABI), Etienne Verrier (INRAE GABI)