
Ce document présente les résultats 2018 des fermes suivies dans le cadre du Réseau d’élevage Charolais (soit 59 fermes à échantillon constant) ainsi que leur évolution.
Ce document vous présente les résultats des 59 fermes suivies dans le cadre du Réseau d’élevage Charolais, sur l’année 2018 et permet d’observer leur évolution par rapport à l’année précédente.
Ces résultats techniques et économiques, sont répartis en fonction de la commercialisation des mâles et des femelles, à savoir :
En 2018, l’EBE moyen des fermes du réseau Charolais est stable par rapport à celui de 2017. Le produit total est en hausse (+ 9 000 €) grâce à l’augmentation de ses 3 principaux secteurs :
Les charges opérationnelles ont augmenté significativement (+ 5 230 €), en lien essentiellement avec des surcoûts liés à la sécheresse. Par ailleurs, la progression des charges de structure (+ 5 % en 2018, + 10 % depuis 2 ans), très supérieure à l’inflation, entraîne une altération de l’efficacité économique de notre échantillon : le rapport EBE/Produit Brut baisse de 2 points, pour s’établir à 34 %. Le revenu disponible/UMO exploitant baisse de 1 430 € (soit 3 % / 2017) en raison d’une progression de 1 650 € des annuités.
Pour 2018, les évolutions sont très contrastées selon la spécialisation des producteurs :
Christèle Pineau (Institut de l'Elevage), Daniel Lafaye (C.A. Allier (03)), Lucie Allart (C.A. Allier (03)), Louis-Marie de Bourayne (C.A. Cher (18)), Laurène De Nicolay (C.A. Cher (18)), Christelle Veau (C.A. Nièvre (58)), Frédérique Marceau (C.A. Nièvre (58)), Lucille Boucher (C.A. Puy de Dôme (63)), Bruno Maugue (C.A. Puy de Dôme (63)), Stéphane Brisson (C.A. Loire (42)), Vincent Doal (C.A. Côte d'Or (21)), Thierry Lahemade (C.A. Saône et Loire (71)), Claude Vincent (C.A. Indre (36))