Sommaire 
 Méthode et résultats de l’évaluation IBOVAL
 Méthodes et résultats de l’évaluation IBOVAL 2020 pour les races bovines à viande
 Méthodes et résultats de l’évaluation IBOVAL 2019 pour les races bovines à viande
 Méthodes et résultats de l'évaluation IBOVAL 2018 pour les races bovines à viande
 Méthodes et résultats de l'évaluation IBOVAL 2017 pour les races bovines à viande
 Méthode et résultats de l'indexation IBOVAL 2015 pour les races bovines à viande
 Méthode et résultats de l’évaluation IBOVAL 2013 pour les races bovines à viande
18 septembre 2013

Méthode et résultats de l’évaluation IBOVAL 2013 pour les races bovines à viande

Evaluation génétique des races bovines à viande à partir des généalogies, du contrôle des performances en ferme de la naissance au sevrage et post-sevrage et des remontées de données d'abattage

  • Méthode et résultats IBOVAL 2013

Les modalités de réalisation de l'indexation IBOVAL 2013 pour les races bovines à viande et les résultats de synthèse qui en découlent font l'objet de ce document. Il constitue également un outil d'aide à l'interprétation des résultats individuels. Cette indexation IBOVAL a permis de diffuser auprès des organismes de sélection et de contrôle des performances concernés les résultats de 48 000 taureaux et de 5,3 millions de femelles.

L'évaluation génétique des races bovines à viande sur les performances en ferme (dite "IBOVAL") représente depuis vingt ans un outil majeur de valorisation du contrôle de performances dans les troupeaux allaitants.

 

Pour les 9 principales races bovines allaitantes françaises (Aubrac, Blonde d'Aquitaine, Bazadaise, Charolaise, Gasconne,Limousine, Rouge des Prés, Parthenaise et Salers), l'indexation concerne les données de la naissance jusqu'au sevrage.

 

Pour 6 races (Blonde d'Aquitaine, Charolaise, Limousine, Parthenaise, Rouge des Prés et Salers), l’indexation concerne également l'évaluation génétique post-sevrage sur une production de jeunes bovins effectuée à partir des remontées de données d'abattage.

 

Enfin, pour 4 d’entre elles (Blonde d’Aquitaine, Charolaise, Parthenaise et Rouge des Prés) sont également exploitées les données de croissance post-sevrage en ferme des femelles.

 

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Philippe Boulesteix (Institut de l'Elevage), Marie-Noëlle Fouilloux (Institut de l'Elevage), Jean Guerrier ), Eric Venot (INRAE GABI)