Erreur lors de la connexion à l'entrepôt Alfresco.
Durant le dernier trimestre 2020, les prix de l’ensemble des matières premières ont connu une forte augmentation. Face à des bilans mondiaux du soja et du maïs qui se tendent et avec une offre de blé sur le bassin européen réduite en cette campagne 2020/21, les marchés sont très réactifs à chaque nouveau facteur d’incertitude (conditions climatiques, restriction d’export, etc.). Le tout premier numéro de 2021 de Tendances Lait Viande est en ligne. Retrouvez vos articles habituels de suivi de conjoncture viande bovine, lait de vache, viande ovine, et lait de chèvre.
Interview de Manon Sailley, ingénieure d'études économiques à Ifip, Idele, Itavi
La renationalisation du marché français liée à la fermeture de la restauration commerciale continue de soutenir les cours des femelles. Les marchés du veau de boucherie et du jeune bovin semblent par ailleurs assainis, avec des prix toutefois inférieurs aux années précédentes.
La demande en produits laitiers demeure solide dans l’UE-27 comme sur les marchés mondiaux. De plus, l’offre laitière se fait moins abondante.
En Australie comme chez de nombreux pays européens, la production de viande ovine a baissé en 2020. L’Irlande s’en sort remarquablement bien du fait à la fois d’un affaiblissement de la filière britannique et d’une offre océanienne restreinte.
Après 9 mois de croissance, la collecte de lait de chèvre a été stable d’une année sur l’autre en octobre. Malgré cela, le ralentissement des fabrications fromagères a permis aux transformateurs de reconstituer en partie leurs stocks de produits de report.
Rendez-vous :sur le site : https://tendances-lait-viande.frsur twitter : https://twitter.com/TendancesLVpar mail : notre équipe répond à toutes vos questions ! |
---|
Groupe Economie du Bétail GEB (Institut de l'Elevage)
Commentaires
Pas de commentaire