
Au cours des 10 dernières années, les progrès génétiques et phénotypiques enregistrés en France pour les espèces de ruminants ont été remarquables. Les niveaux de production n'ont cessé de s'améliorer. Ainsi, en race Prim'Holstein, entre 2005 et 2014, les gains phénotypique et génétique en lait ont été respectivement de + 928 kg et + 926 kg. Les races ovines (lait et viande) et caprine ont connu la même dynamique. Ces résultats, présentés en détail dans le dépliant joint, s'expliquent par la qualité du dispositif génétique français.
Le dispositif génétique français est actuellement caractérisé dans les espèces de ruminants par :
Dans le cadre d’un Système de Management de la Qualité, les organisations d’éleveurs conjuguent complémentairement, tant au niveau régional que national, leurs moyens et compétences pour fournir aux éleveurs des résultats fiables pour conduire la sélection de leurs reproducteurs.
Vigan Dervishi (Institut de l'Elevage), Pascale Le Mezec (Institut de l'Elevage), Michel Douguet (Institut de l'Elevage), Laurent Griffon (Institut de l'Elevage), Jean-Michel Astruc (Institut de l'Elevage), Agnès Piacère (Institut de l'Elevage), Jean Guerrier ), Laurence Tiphine (Institut de l'Elevage), Eric Jullien (Institut de l'Elevage)