En dépit de ses intérêts sur les effets génétiques, la pratique du croisement entre races bovines laitières est peu répandue en France sans doute à cause d’une méconnaissance de ses bénéfices technico-économiques à moyen/long terme. De plus, l’hétérogénéité phénotypique qu’entraîne le croisement peut être un frein à son utilisation. Afin de prendre en toute connaissance de cause une éventuelle décision de passer tout un troupeau en croisement, les éleveurs doivent connaître les avantages et contraintes liés au croisement en fonction de leur type d’atelier laitier.
Un point complet sur le sujet dans le revue INRAE Productions animales.
Pascale Le Mezec (Institut de l'Elevage), Charlotte Dezetter ), Didier Boichard (INRAE Jouy (78)), Nathalie Bareille (ONIRIS Nantes), Bénédicte Grimard (ENV Alfort), Vincent Ducrocq (INRAE Jouy (78))